Les girafes célèbres dans l'Histoire
Zarafa
La première girafe d'Égypte (offerte par le vice-roi Méhémet Ali au roi Charles X) est entrée vivante sur le sol français en 1827 par le naturaliste Étienne Geoffroy Saint-Hilaire. Elle a parcouru 800 km entre Marseille et le Jardin des plantes à Paris, où elle a vécu pendant 18 ans.
C'était la première girafe que l'on ait jamais vu en France, et la troisième en Europe, ce qui explique que cet animal nouveau et étrange ait eu beaucoup de succès, et soit resté aussi célèbre.
Après sa mort, la girafe a été empaillée, et on peut aujourd'hui la visiter au Muséum de La Rochelle.
Le nom de « Zarafa » lui a en fait été donné bien plus tard, puisque, en réalité, la girafe n'avait pas de nom. Cependant, le nom de Zarafa est resté, et c'est généralement celui par lequel on la connaît.
Un film français inspiré par l'histoire de Zarafa est sorti en France en 2012 : il raconte cette belle histoire.
C'était la première girafe que l'on ait jamais vu en France, et la troisième en Europe, ce qui explique que cet animal nouveau et étrange ait eu beaucoup de succès, et soit resté aussi célèbre.
Après sa mort, la girafe a été empaillée, et on peut aujourd'hui la visiter au Muséum de La Rochelle.
Le nom de « Zarafa » lui a en fait été donné bien plus tard, puisque, en réalité, la girafe n'avait pas de nom. Cependant, le nom de Zarafa est resté, et c'est généralement celui par lequel on la connaît.
Un film français inspiré par l'histoire de Zarafa est sorti en France en 2012 : il raconte cette belle histoire.
La girafe Medicis
La girafe Médicis a été offerte à Laurent de Médicis en 1486 (sans doute par al-Ashraf Qaitbay, le sultan mamelouk burjite de l'Égypte).
La girafe a fait forte impression lors de son arrivée à Florence car c'était le premier exemplaire vivant à être vu dans la ville.
Son passage dans les rues de Florence fut immortalisé par les plus grands peintres : Domenico Ghirlandaio, Raffaello Botticini, Giorgio Vasari et Francesco Bacchiacca, ainsi que par le poète Antonio Costanzo, qui la décrit en ces termes :
« Je l'ai également vu soulever la tête des spectateurs, ceux accoudés aux fenêtres, parce que sa tête atteignait la hauteur de onze pieds ; par le même fait, en la voyant au loin, des personnes pensaient qu'ils regardaient une tour plutôt qu'un animal. Elle semblait aimer la foule, toujours pacifique et sans crainte, elle semblait même observer avec plaisir les personnes qui venaient pour la contempler. »
Elle mourut peu de temps après son arrivée en se rompant le cou dans la poutraison de son écurie spécialement conçue pour elle.
La girafe a fait forte impression lors de son arrivée à Florence car c'était le premier exemplaire vivant à être vu dans la ville.
Son passage dans les rues de Florence fut immortalisé par les plus grands peintres : Domenico Ghirlandaio, Raffaello Botticini, Giorgio Vasari et Francesco Bacchiacca, ainsi que par le poète Antonio Costanzo, qui la décrit en ces termes :
« Je l'ai également vu soulever la tête des spectateurs, ceux accoudés aux fenêtres, parce que sa tête atteignait la hauteur de onze pieds ; par le même fait, en la voyant au loin, des personnes pensaient qu'ils regardaient une tour plutôt qu'un animal. Elle semblait aimer la foule, toujours pacifique et sans crainte, elle semblait même observer avec plaisir les personnes qui venaient pour la contempler. »
Elle mourut peu de temps après son arrivée en se rompant le cou dans la poutraison de son écurie spécialement conçue pour elle.